La pétition, donc nous, demande aux responsables politiques les actions suivantes :

- Un accroissement significatif des ressources financières nécessaires car celles qui sont affectées actuellement sont dramatiquement insuffisantes pour donner accès à l'eau potable à ce milliard d'êtres humains qui en sont privés.

- Une mise à disposition rapide de ces ressources financières, en priorité pour les pays les plus pauvres, notamment ceux affectés par des conflits ou des catastrophes naturelles, pour une action humanitaire d'urgence. Une mesure indispensable pour atteindre au moins l'objectif du millénaire des Nations Unies n°7 : réduire, d'ici 2015, de 50% le nombre de personnes privées d'un accès à l'eau potable et à l'assainissement.

- La création d'une Agence Internationale pour l'Eau, organisme de référence, chargé de la mobilisation des ressources et de leur affectation, de la promotion d'une gestion intégrée de l'eau et de la coordination des acteurs. Elle veillera, au renforcement des gouvernances nationales comme des capacités locales, et au développement d'une politique de sensibilisation et d'éducation. Cette Agence aura aussi comme objectif de s'assurer de la mise en ½uvre des décisions.

-- Ton enfant intérieur --



Auteure : Manon Sénécal

Tuer un coeur qui bat est interdit peut importe le corp qui le porte!!!

En janvier dernier, L'association AFIPA (Association Française et Internationale de Protection Animale)
a pu obtenir l'adoption d'un texte (Arrêté du 13 Janvier 2006) interdisant l'importation, l'introduction et la commercialisation de la fourrure de chat et de chien en France.

Satisfaite de ce texte mais aussi réalistes, l'AFIPA sais que son application et son efficacité dépendent de règles d'étiquetage bien plus rigoureuses que celles qui existent actuellement.

MAIS, CE TEXTE SEUL EST INSUFFISANT!

Les trafics et fraudes continueront tant que la traçabilité des peaux n'est pas garantie par un étiquetage approprié. Ceci est vrai pour toutes les espèces règlementées (chats, chiens, espèces protégées...).

La cruauté (particulièrement atroce dans certains élevages et certains pays) sera encouragée tant que l'on ne sera pas en mesure d'identifier la provenance des fourrures.

A l'heure actuelle, seule la mention du nom commercial de l'animal sacrifié pour sa fourrure est obligatoire. Pour l'AFIPA, cela est clairement Insuffisant ! Pourquoi ? Car le nom commercial recouvre une réalité floue qui n'a rien de scientifique.
Ainsi le chien domestique sera déclaré "Dog de Chine", « Loup de Chine », « Loup De Corée », le chien ou le loup dès lors qu'ils sont interdits seront aussi dénommés "Coyotte"...
Les félidés seront parés également de noms exotiques qui ne figurent dans aucune nomenclature scientifique.


Chaque année fleurissent de nouvelles appellations incontrôlables !

Le nom commercial devient un nom de fantaisie, un nom de guerre destiné à contourner les interdictions !
Cette situation jointe au fait que bien souvent les articles comportant de la fourrure ne sont même pas étiquetés, au mépris de la loi en vigueur, fait que :

Nous ne pouvons pas accepter cela. Vous ne devez plus accepter cela !

Il est donc urgent, pour que l'arrêté du 13 janvier dernier ne reste pas lettre morte, d'obtenir la modification du décret relatif à l'étiquetage de la fourrure.

L'AFIPA propose au Ministère de l'Economie la mise en place d'un nouvel étiquetage qui comportera :
--> le nom commercial
--> le nom scientifique
--> le pays de provenance
--> la méthode d'abattage (pour responsabiliser acheteur et vendeur) : gazé, piégé, électrocuté...


Malheureusement, malgré de nombreux contacts avec le Ministère de l'Economie, L'AFIPA n'est pas entendu sur ces demandes légitimes et de bon sens ;

Ces informations sont pourtant dues aux consommateurs comme aux protecteurs des animaux et de la nature.

C'est pourquoi, protecteur des animaux et de la nature, nous avons besoin de vous et de votre signature. Afin que votre signature soit prise en compte par les services de l'Etat, L'AFIPA a mit en place un système spécial : chacune de vos signatures sur le site déclenchera un mail de protestation envoyé aux différents Ministères concernés.

Maintenant c'est à vous de jouer, n'oubliez pas que c'est grace à la nature que nous pouvons vivre et à cause de l'humain que nous survivons!

" Donc respectez celle qui vous fait vivre! "

Pour signez la pétition ---> http://www.antifourrure.org/signer.php <--- Pour signez la pétition

Avant-propos

Le Mahatma Gandhi (1869 à 1948) était d'avis que l'on peut juger de la grandeur d'une nation par la façon dont elle traite les animaux. Et Albert Schweitzer (1875 à 1965) insistait sur le fait que la compassion à l'égard des animaux devrait être basée sur le respect universel de tout ce qui vit, sinon elle est défectueuse et instable. On peut sans doute ajouter que les humains et les animaux sont solidaires devant la destinée, aujourd'hui plus que jamais.

Lorsque, il y a à peine un an, en passant devant un fast-food mondialement connu, je me suis aperçu et j'ai pris conscience de l'excès de poids de certains humains, phénomène de notre société « moderne », il m'est venu à l'idée d'établir une relation précise entre notre état de santé et l'existence naturelle des animaux de rente dans un environnement approprié. J'ai pris conscience que les vaches qui broutent joyeusement sur les pâturages et les autres illustrations roboratives des vendeurs de BIO pourraient faire miroiter un monde artificiel et trompeur et voiler la réalité. Les primes des caisses maladie, en augmentation constante, le comportement des consommateurs devant les étalages toujours bien approvisionnés des grands distributeurs et la crise toujours plus intense de l'agriculture m'ont incité à proposer au comité de la SPA de Zurich d'entreprendre une analyse précise de la situation actuelle.

Avec le titre « Une chance pour l'avenir : le bien-être des animaux », je suis heureux non seulement de soulever des problèmes, mais aussi de proposer des solutions pour l'avenir et de fournir des documents (voir chapitre 7 : les bons exemples).

Cela a été possible grâce à la généreuse subvention de Mme Martha Risler, qui a voulu ainsi soutenir « la lutte contre la détention indigne des animaux ». Il est vraiment temps que les protecteurs des animaux dans le domaine de la détention des animaux de rente n'accusent pas indifféremment les paysans, car bien des améliorations se sont déjà produites. Il s'agit plutôt d'éveiller l'attention des gens et de leur faire prendre à nouveau conscience de l'importance de leur comportement (comme contribuable aussi) lors de leurs achats à l'égard des méthodes de production qui leur sont proposées.

Le développement malheureux de nos habitudes alimentaires – toujours davantage, toujours plus vite, toujours moins cher – ne peut continuer sans limite. C'est pourquoi les consommateurs, le commerce, les agriculteurs et les protecteurs des animaux doivent se réconcilier. Pour le bien de nos animaux et pour le bien des hommes.

Dr Hans H, Schmid, président de la SPA de Zurich.